Le petit restaurant où, à cette époque, je prenais mon déjeuner (humble repas dont le montant, rarement inférieur à quatre-vingt-dix centimes, ne dépassa jamais vingt-deux sous), recrutait le plus clair de sa clientèle parmi les jeunes parfumeuses d’en face. Clientèle sobre aussi, mais aromatique, oh ! combien ! et si diversement !
Des jours, c’était le peu apéritif ylang-ylang qui dominait ; d’autres, le céphalalgique winter-green. Lire la suite