Le riche amateur contempla longuement le tableau.
C’était un beau tableau fraîchement peint, qui représentait une bacchante nue à demi renversée.
On reconnaissait que c’était une bacchante à la grappe de raisin qu’elle mordillait à belles dents. Et puis des pampres s’enroulaient dans ses cheveux, comme dans les cheveux de toute bacchante qui se respecte ou même qui ne se respecte pas. Lire la suite