Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais j’adore l’Angleterre.
Je lâcherais tout, même la proie, pour Londres.
J’aime ses bars, ses music-halls, ses vieilles femmes saoules en chapeau à plume.
Et puis, il y a une chose à se tordre qui vaut, à elle seule, le voyage : c’est la contemplation du comfortable anglais.
Le monsieur qui, le premier, a lancé la légende du comfortable anglais était un bien prodigieux fantaisiste. J’aimerais tant le connaître ! Lire la suite